LES MÉTAMORPHOSES CLANDESTINES
Louise Bédard pose ici un regard de femme sur les questions reliées à la masculinité. Le quatuor masculin lui permet d’explorer un univers d’homme et d’en évoquer la vulnérabilité derrière les artifices. Un parcours sur le non-dit, sur les changements qui s’opèrent en chacun le long de couloirs mystérieux. La chorégraphe s’inspire ici du livre de George Perrec, La vie, mode d’emploi, des nouvelles mythologies et des nouveaux rites.
CRÉDITS
Année de création : 1991
Durée : 60 minutes
Chorégraphie : Louise Bédard
Interprètes : Marc Boivin, Paul-André Fortier, Luc Ouellette, Harold Rhéaume
Musique Originale : Robert M. Lepage
Scénographie : Louise Bédard, Marc-André Coulombe
Costumes : Marc-André Coulombe
Maquillage : Angelo Barsetti
Lumières : Stéphane Mongeau
EXTRAITS DE LA REVUE DE PRESSE
Le point de vue féminin de Bédard sur les conflits masculins se révèle remarquablement lucide et pénétrant. Elle crée une gestuelle riche et intelligente qui parle au-delà des mots.
The Gazette, Montréal - 1992
L’originalité des gestes que les danseurs interprètent accuse une compréhension de l’énergie masculine au-delà des stéréotypes.
Voir, Montréal - 1992
Louise Bédard possède une puissance évocatrice à laquelle n’échappe pas l’originalité des formes, et si elle sait faire en sorte que le corps sache habiter autour de lui l’espace, elle réussit en plus à transmettre en toute subtilité une grande richesse de sensations… Les mouvements s’imprègnent de liberté comme une ouverture vers le monde qui l’environne.
Voir, Montréal - 1991